Imbroglio : dans les yeux de l’enfant, se mêlent la
souffrance de la violence subie, le déni de sa parole
et une grande solitude. Plus tard devenu adulte, à
l’imbroglio de son enfance se rajoutera une colère
d’avoir été mis en danger et ne pas avoir été secouru.
Il comprendra que c’est toute la culture d’un système
qui a voulu se protéger au lieu de le protéger. Et son
imbroglio ne cesse de se creuser autour de cette
interrogation : « Pourquoi ne peut-on pas lui rendre
justice ? » C’est tellement vital pour lui pour qu’enfin
il puisse avoir la paix et que cesse de couler sa larme
d’enfance.
Une personne victime
Quand ? Une journée annuelle placée au troisième vendredi de Carême
La journée annuelle de mémoire et de prière, voulue par les évêques de France à l’issue de l’Assemblée plénière de mars 2021, prend désormais place dans le calendrier liturgique de façon pérenne, le troisième vendredi de Carême. Elle répond à l’invitation du pape François à vivre une journée de prière pour les personnes victimes de violences sexuelles et d’abus de pouvoir et de conscience au sein de l’Église. > En 2024, elle a lieu le vendredi 8 mars <
Dans notre paroisse, nous poursuivons le travail suite à la remise du document de préconisation élaboré par le groupe Lazare. Après la soirée du 5 février, réunissant plus de 70 paroissiennes et paroissiens, un appel a été fait pour ceux qui souhaitent poursuivre l’action. Il s’agit maintenant de partir de propositions concrètes, de les mettre en œuvre, et de les évaluer. Tout cela se fera dans le temps. Une première rencontre des volontaires aura lieu après Pâques pour décider du fonctionnement de cette commission de suivi.
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